Dans les industries, celles qui sont équipées de machines automatiques, d’installations robotisées, il est obligatoire de pouvoir compter sur les interrupteurs et appareils de commande de sécurité. On en parle pas assez, mais ces organes peuvent sauver des vies ou éviter des accidents tragiques. La sécurité au travail est dans vos priorités ou devrait l’être, alors lisez cet article.
La protection des salariés qui travaillent sur des installations automatisées
Ils sont opérateurs, conducteurs de machines, techniciens de maintenance, contrôleurs, et ils peuvent tous être confrontés dans leur quotidien à une défaillance technique dans leur environnement de travail. On sait que dans l’industrie nul ne pourrait se passer des technologies, que l’automatisation est indispensable pour produire plus et mieux, cependant, il ne faut pas oublier de se protéger contre les risques d’accident. Les accidents de travail sont la plupart du temps de la responsabilité de l’homme, en revanche, ils peuvent être évités grâce aux appareils de commande de sécurité, comme l’interrupteur d’arrêt d’urgence, le bouton poussoir de réarmement ou bouton poussoir à touches multiples.
Contrôle des appareils de commande de sécurité
On a déjà pu constater dans des entreprises que les employés travaillant sur des installations automatisées n’étaient pas toujours formés à la sécurité. Ce ne devrait pas être le cas, mais des manquements surviennent parfois lorsque certaines entreprises industrielles ont un fort turn-over. Cela arrive notamment lorsqu’il y a une montée en charge du carnet de commande, l’appel de personnel intérimaire en masse ne permet pas au manager de production de tout verrouiller. On va évidemment et malheureusement priorisé les cadences et laissez de côté la sécurité. Si votre entreprise est confrontée à ce genre de situation, elle a tout intérêt à donner comme mission à son service de maintenance de contrôler le bon état de marche de tous ses appareils de commande sécurité régulièrement. Un audit peut être réalisé en début de poste ou en fin de poste par les conducteurs de machine eux-mêmes, 2 minutes suffisent pour éviter un accident, pensez-y !
